QUELQUES REPERES HISTORIQUES


A l’époque romaine, le territoire est traversé par la voie joignant Lutèce à Cenebum (Orléans), appelée «chaussée Jules César». Selon l’abbé Gauthier, Paray devient paroisse sous le règne de Charles le Chauve en 850.
Aux XIIe et XIIIe siècles, elle devient prieuré. A partir du XVe siècle et jusqu’en 1791, l’église dépend de l’abbaye de Clairefontaine.
Vers 1700, la localité relève de la généralité d’Orléans, du bailliage du comté et de la prévôté de Dourdan, ainsi que du diocèse de Chartres.
En 1718, elle est rattachée au bailliage de Montfort-L’amaury, puis en 1778, à la seigneurie de Rochefort.
Pendant la Révolution, les paroissiens du bourg sauvent le sanctuaire du pillage opéré par des habitants venus d’Allainville et d’Hattonville. Le château de Douaville est vendu comme bien national à Voisin, chirurgien des campagnes napoléoniennes. Ce dernier le cède après la mort de son petit-fils, qui d’après la tradition, se serait tué en tombant de l’une des cheminées du château.
Entre 1876 et 1914, la ligne de chemin de fer favorise le développement de l’activité économique au Nord du territoire de la commune.
Dans le hameau du Petit Orme, l’ancienne sucrerie a joué un rôle de premier ordre dans cette région agricole. Son importance est déterminée par la proximité de la voie de chemin de fer qui relie Paris à Chartres et à Tours. Aujourd’hui désaffectés, ses bâtiments servent en partie d’entrepôts, pour une entreprise de négoce de semences et d’engrais. Une centrale d’enrobé routier est également en activité sur le site.

PARAY DOUAVILLE à travers le temps 

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La sucrerie début du XXème siècle

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Bureau de poste de Paray Douaville 1918








Rue principale de Paray Douaville 1913

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L’école de Paray Douaville 1919







La Mairie de Paray Douaville 1926

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